
L’objectif
Permettre au golfeur de jouer au golf dans la durée sans douleur.
Le swing de golf optimisé biomécaniquement tient compte du mouvement naturel des articulations et de l’appareil musculaire et permet d’éviter la surcharge par des forces de compression, de traction, de cisaillement et de flexion.

L’objectif
Le swing de golf optimisé biomécaniquement tient compte du mouvement naturel des articulations et de l’appareil musculaire et permet d’éviter la surcharge par des forces de compression, de traction, de cisaillement et de flexion.
Sur le plan technique, le golf est aussi exigeant que le saut à la perche. Et cela n’est guère surprenant. La séquence de mouvements est extrêmement complexe et intense sur le plan physique. Le swing du golf génère des forces de rotation élevées qui influent directement au niveau du corps. Ainsi, les articulations dans la partie basse du dos supportent, par exemple, des contraintes pouvant atteindre 6 à 8 fois le poids du corps.
Le golf est un sport basé sur la répétition. Pour acquérir une solide technique de swing, rien de tel que de répéter indéfiniment les différentes phases du mouvement. Ainsi, un golfeur moyen frappe environ 150 balles par journée d’entraînement – alors que pour un golfeur professionnel, ce chiffre se situe entre 300 et 600 balles. Au fil des ans, un swing mal effectué se traduit inéluctablement par des problèmes anatomiques.
Plus de 80 % des golfeurs débutants ont plus de 55 ans et plus de la moitié de tous les golfeurs appartiennent à cette même classe d’âge. La classe d’âge des 22-49 ans est la deuxième la plus représentée. Nombre de golfeurs ont pratiqué le tennis ou un autre type de sport pendant des années avant de se mettre au golf. Et c’est ainsi que la majorité des golfeurs présentent un handicap anatomique.
Le palmarès des zones anatomiques problématiques semble être gravé dans le marbre, tant il est constant depuis des années. Par ordre de fréquence, on trouve: les coudes, les épaules, la zone lombaire, les poignets, la zone thoracique de la colonne, les côtes et les chevilles. À titre de comparaison, le palmarès pour le tennis est le suivant: les coudes, les chevilles, les muscles des mollets, les tendons d’Achille et les épaules.